Une belle soirée (presque) estivale.
Pour fêter le (presque) été : remise en fonction du barbecue. Petit passage chez Julien le boucher, appel à des amis (je ne connais pas la réponse et ne veux pas griller mon 50/50).
Tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment.
Pour commencer les hostilités (je ne pense pas que les nouvelles du petit derniers vous passionnent) allons droit au but : Coteaux de L'Aubance 1995 de Bablut. Millésime de ma petite lycéenne, elle a donc eu droit à une larmichette.
La couleur est magnifique, abricot confit... impressionnant.
Le nez peu expressif et la suite très classique d'une année ensoleillée où le Botrytis fût surement absent. Fruits confits, miel... et un petit manque de peps... un brin mou le vieux Layon. Ce n'est pas du niveau de Richou (les 3 demoiselles, une merveille)
Ce ne fût pas la plus grande trouvaille du jour, mais son prix d'achat (environ 14 € en janvier) n'était pas délirant non plus.
La suite fût plus ... surprenante.
J'avais dans l'idée d'essayer un (très bon) vin rouge Grec sur la belle pièce de Boeuf grillée.
En voulant carafer un GAIA agiorgitiko rouge j'ai versé le blanc Thalassitis.
Certes, sur la papier c'est une merveille et certains le comparent à un excellent village de Chablis ( vous savez ...les 9 collines), mais avec un caractère unique.
Il y ajoute des notes d'agrumes et une onctuosité difficile à décrire. J'en avais acheté une caisse pour comprendre, mais j'avais oublié cette acquisition!
Il est suggéré de l'accompagner d'un beau poisson grillé ... pas d'une cote de boeuf persillée!!!!
Nous avons donc fait patienter la bestiole et dégusté tranquillement l'Hellène (provenance Santorin).
Pas facile à apprécier dans l'absolu après un coteaux de l'Aubance gras et compoté... mais dès la 2em gorgée la classe ressort.
Indéniablement.
Je confirme les pronostiques : La minéralité est impressionnante, on "suce du cailloux". Les arômes prévus sont bien au rendez-vous (agrumes fraiches). L'onctuosité y est, surement, ... mais après le Layon....pas facile à détecter.
Je recommande donc ! Au delà du papier, c'est également une merveille pour le gosier.
Pour environ 13 Euros en direct, mais Également disponible là ou chez vins du monde à 23,50€ dans les 2 cas....(version fût de chêne chez VdM).
Pour l'anecdote la côte de boeuf à côtoyé un Hécula Monastrell (Alicante)... un petit peu trop aimable pour répondre à la bête. Un bon Cabernet, plus accrocheur, aurait mieux fait l'affaire (Concha Y toro Chilien par exemple).
Pour fêter le (presque) été : remise en fonction du barbecue. Petit passage chez Julien le boucher, appel à des amis (je ne connais pas la réponse et ne veux pas griller mon 50/50).
Tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment.
Pour commencer les hostilités (je ne pense pas que les nouvelles du petit derniers vous passionnent) allons droit au but : Coteaux de L'Aubance 1995 de Bablut. Millésime de ma petite lycéenne, elle a donc eu droit à une larmichette.
La couleur est magnifique, abricot confit... impressionnant.
Le nez peu expressif et la suite très classique d'une année ensoleillée où le Botrytis fût surement absent. Fruits confits, miel... et un petit manque de peps... un brin mou le vieux Layon. Ce n'est pas du niveau de Richou (les 3 demoiselles, une merveille)
Ce ne fût pas la plus grande trouvaille du jour, mais son prix d'achat (environ 14 € en janvier) n'était pas délirant non plus.
La suite fût plus ... surprenante.
J'avais dans l'idée d'essayer un (très bon) vin rouge Grec sur la belle pièce de Boeuf grillée.
En voulant carafer un GAIA agiorgitiko rouge j'ai versé le blanc Thalassitis.
Certes, sur la papier c'est une merveille et certains le comparent à un excellent village de Chablis ( vous savez ...les 9 collines), mais avec un caractère unique.
Il y ajoute des notes d'agrumes et une onctuosité difficile à décrire. J'en avais acheté une caisse pour comprendre, mais j'avais oublié cette acquisition!
Il est suggéré de l'accompagner d'un beau poisson grillé ... pas d'une cote de boeuf persillée!!!!
Nous avons donc fait patienter la bestiole et dégusté tranquillement l'Hellène (provenance Santorin).
Pas facile à apprécier dans l'absolu après un coteaux de l'Aubance gras et compoté... mais dès la 2em gorgée la classe ressort.
Indéniablement.
Je confirme les pronostiques : La minéralité est impressionnante, on "suce du cailloux". Les arômes prévus sont bien au rendez-vous (agrumes fraiches). L'onctuosité y est, surement, ... mais après le Layon....pas facile à détecter.
Je recommande donc ! Au delà du papier, c'est également une merveille pour le gosier.
Pour environ 13 Euros en direct, mais Également disponible là ou chez vins du monde à 23,50€ dans les 2 cas....(version fût de chêne chez VdM).
Pour l'anecdote la côte de boeuf à côtoyé un Hécula Monastrell (Alicante)... un petit peu trop aimable pour répondre à la bête. Un bon Cabernet, plus accrocheur, aurait mieux fait l'affaire (Concha Y toro Chilien par exemple).
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