Je viens de reçevoir une vieille connaissance.
Autant que possible j'essaie de ne boire que des vins issus de l'agriculture biologique.
Depuis quelques semaines, bien souvent mes goûts tendent vers les vins sudistes. Est-ce le raz-le-bol de cet hiver interminable ?
Quand on m'a proposé quelques bouteilles de Flor del mongo la semaine dernière, je n'ai pu faire autrement que de commander le stock... quel fou !
Tout ce qui traine : étiquettes abîmées, millésimes 2007 et 2008... tout.
Bon ca ne fait pas grand chose car ce nectar ne reste jamais bien longtemps sur les linéaires :)
Le 2007 était un assemblage de Monastrel et de Syrah. Le 2008 est 100% Monastrell.
Je n'ai pas goûté le 2008, mais s'il faut se sacrifier... on retournera au boulot. Comptez sur moi.
Pour ceux qui n'auraient pas suivi chaque jour mes péripéties, je rappelle que le Monastrell est la version hispanique du Mourvèdre qui donne des vins si puissants à Bandol.
On ne le trouve quasiment nulle part ailleurs en France. Ce cépage à grappe serrée ne supporte que les bords de mer, bien ventilés...
Par quel miracle sa rusticité provencale (si merveilleuse) devient-elle velours en Espagne ?
Je ne cherche pas à comprendre.
Et je suis heureux.
Il n'y en aura pas pour les copains.
Autant que possible j'essaie de ne boire que des vins issus de l'agriculture biologique.
Depuis quelques semaines, bien souvent mes goûts tendent vers les vins sudistes. Est-ce le raz-le-bol de cet hiver interminable ?
Quand on m'a proposé quelques bouteilles de Flor del mongo la semaine dernière, je n'ai pu faire autrement que de commander le stock... quel fou !
Tout ce qui traine : étiquettes abîmées, millésimes 2007 et 2008... tout.
Bon ca ne fait pas grand chose car ce nectar ne reste jamais bien longtemps sur les linéaires :)
Le 2007 était un assemblage de Monastrel et de Syrah. Le 2008 est 100% Monastrell.
Je n'ai pas goûté le 2008, mais s'il faut se sacrifier... on retournera au boulot. Comptez sur moi.
Pour ceux qui n'auraient pas suivi chaque jour mes péripéties, je rappelle que le Monastrell est la version hispanique du Mourvèdre qui donne des vins si puissants à Bandol.
On ne le trouve quasiment nulle part ailleurs en France. Ce cépage à grappe serrée ne supporte que les bords de mer, bien ventilés...
Par quel miracle sa rusticité provencale (si merveilleuse) devient-elle velours en Espagne ?
Je ne cherche pas à comprendre.
Et je suis heureux.
Il n'y en aura pas pour les copains.
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